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5 astuces pour aider son enfant à apprendre à lire

L’apprentissage de la lecture est une étape incontournable que les enfants doivent traverser au début de leur parcours scolaire. Il n’est pas toujours facile pour nos bouts de choux de se familiariser avec les lettres et de réaliser avec sérénité toutes les activités qui leur sont proposées à l’école. Sans avoir à vous substituer à la maîtresse, voici 5 conseils qui vous aideront à accompagner et à motiver votre enfant dans l’assimilation de la lecture.

1. Éveillez sa curiosité

5 astuces pour aider son enfant à apprendre à lirePour que les activités de lecture plaisent à l’enfant, il est essentiel qu’elles lui procurent du plaisir. L’idéal est ainsi de commencer à lui faire découvrir l’univers des lettres et des mots dès son plus jeune âge pour qu’il continue à l’apprécier lorsqu’il sera à l’école. En pratique, vous pouvez lui proposer de se familiariser avec les sons à l’aide d’un abécédaire ou de comptines. Pour les tout-petits, il est essentiel qu’ils arrivent plutôt à reconnaître les sons que le nom de la lettre dans l’alphabet. Par exemple pour « sac », le mieux est de leur apprendre que ce mot est composé des sons « sss », « a » et « k » que de dire que ce sont les lettres « s », « a » et « c ». S’ils apprennent déjà la lecture à l’école, il est important de ne pas les perturber, mais d’essayer de trouver des activités ludiques en accord avec la méthode de lecture déjà proposée en classe. De petites habitudes comme déchiffrer les lettres et les mots de leur environnement immédiat sont autant de moyens pour aider l’enfant dans son apprentissage. À noter que l’écriture la plus courante qu’il va rencontrer dans son quotidien est l’écriture script en minuscules.

2. Suivez son rythme

Les grandes avancées dans le domaine des neurosciences ont prouvé que les intelligences sont multiples. Si certains enfants ont besoin de toucher pour mémoriser, d’autres sont plus auditifs ou visuels. La progression ne sera donc pas la même pour tous. Essayez d’observer et de voir comment votre enfant apprend le mieux et proposez-lui des activités qui privilégient cette faculté. Aidez-le à ne pas se décourager en s’entraînant ensemble, ne lui mettez pas la pression s’il rencontre des difficultés, c’est ce qui va lui permettre d’être rassuré et de développer sa confiance en lui.

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3. Évitez de le perturber

La meilleure façon d’accompagner l’enfant dans son apprentissage est de l’encourager à aller de l’avant. Lorsqu’il lit, évitez de le gronder à chaque fois qu’il fait des fautes, mais corrigez-le tout en l’encourageant à mieux faire. Prenez également le temps de lire avec lui ses histoires préférées pour le motiver. Attention surtout à ne pas trop vouloir jouer à la maîtresse, car il existe différentes méthodes de lecture. Il est ainsi important de comprendre celle qui lui a été transmise et de l’aider dans ce sens. Vous devez faire confiance à son enseignant et suivre tout simplement sa méthode. Il peut par exemple jouer avec des petites cartes, où vous avez écrit les lettres, pour essayer de recomposer les mots qu’il a déjà appris à l’école. Pour varier le plaisir, vous pouvez aussi lui donner oralement le mot et il vous dicte les lettres qui correspondent. L’important est qu’il voit l’activité comme un jeu et qu’il prenne du plaisir.

4. Créez un environnement lettré à la maison

Créez un environnement lettré adapté au niveau de l’enfant à la maison. Il s’agit d’écrire pour lui ou avec lui de petits messages utiles ou tout simplement affectifs que vous pouvez mettre dans sa chambre, sur la porte du frigo ou dans son cartable. Vous pouvez également créer avec lui un coin privilégié pour la lecture où vous collerez certains mots, à changer régulièrement selon sa progression, certaines lettres ou des petites consignes. Vous pouvez également l’habituer à vous écrire un petit message selon les activités qu’il est en train de faire ou pour vous rappeler des petites choses à ne pas oublier pendant les courses ou pourquoi pas dresser ensemble plus tard la liste des courses, des tâches à faire à la maison, les jouets, etc. Lui montrer l’utilité de la lecture au quotidien vous permet de le motiver encore plus, donc n’hésitez pas à adapter l’environnement à son apprentissage, lire avec lui les recettes des plats que vous préparez ou organiser son espace en mettant des petites indications qu’il peut lire et comprendre, soyez créatif !

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5. Racontez-lui des histoires et faites-lui écouter des livres audio

Les enfants aiment les histoires. Ils sont toujours heureux quand les parents prennent le temps de leur raconter une petite histoire avant de dormir, cela les détend. En plus de stimuler leur imagination, ces lectures leur permettent d’élargir leur vocabulaire et de se familiariser avec les différentes associations de lettres et de mots. Bien que les tout-petits ne sachent pas encore lire, écouter ce qu’on leur raconte éveille leur curiosité et les encourage à déchiffrer les mots et les sons tout en les mettant en relation avec les images. C’est déjà un grand pas vers une meilleure progression en lecture le moment venu. Une autre alternative intéressante pour varier les activités est celle de faire écouter à l’enfant un livre audio. Il pourra ainsi écouter et suivre en même temps dans son livre pour mieux comprendre la façon de prononcer les mots et progresser dans la lecture. Même lorsque les enfants grandissent, continuez à cultiver leur intérêt pour les histoires et pour la lecture, ils pourront ainsi accéder plus facilement aux savoirs.

Par la rédaction de Romanvie.ch. Le 18 mai 2018 – Photos illustrations : Fotolia.com

5 choses destructrices à chasser de votre vie de couple

5 choses destructrices à chasser de votre vie de coupleL’amour a un pouvoir surprenant. La bible dit dans 1 Corinthien 13 que l’amour pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout et que l’amour ne meurt jamais. Et pourtant, de nombreux couples se détruisent encore et finissent par divorcer. Est-ce dû à l’absence d’amour alors qu’à la base de la formation de ces couples, il y a eu des sentiments et l’amour a trouvé le chemin du cœur de chacun ? Dans ce cas, qu’est-ce qui s’est passé et qu’est-ce qui a pu détruire cet amour dont la puissance devrait lui permettre de venir à bout de toutes les difficultés. Découvrons ensemble 5 choses destructrices auxquelles nous devons prendre garde pour sauver notre couple et renforcer le pouvoir de l’amour mutuel qui se trouve à la base du bonheur conjugal.

1. Vouloir avoir raison à tout prix

La communication est essentielle dans la vie du couple. Elle se traduit par l’écoute de l’autre, l’empathie et l’échange en vue de mieux se comprendre et de résoudre ensemble les éventuels problèmes rencontrés. S’enrichir de chaque discussion grâce à l’écoute n’est pas toujours facile, car certains contextes nous poussent à l’agressivité, à la haine, voire à de véhémentes critiques. Il est ainsi crucial d’essayer de retrouver notre sang-froid et de nous demander si ce que nous sommes en train de dire à notre partenaire est réellement utile pour le bien du couple ou si nous sommes tout simplement en train de semer les premières brèches qui vont contribuer à l’effondrement de notre mariage. Commencer une discussion dans le but d’avoir le dernier mot et d’avoir raison, c’est préparer déjà son partenaire à échouer quels que soient ses propos ou explications.

2. Se contredire devant les autres

Ne pas se contredire ou se disputer devant les enfants est nécessaire pour asseoir la notoriété des parents, mais c’est aussi essentiel pour le bon équilibre émotionnel des petits. Mais attention, il n’y a pas que les enfants, parfois sans le vouloir, nous prenons la mauvaise habitude de nous critiquer devant les autres. Il ne s’agit pas forcément de grands conflits, mais il faut prendre garde et faire en sorte que cela ne s’enracine pas. Des recherches ont, en effet, montré que le fait de partager une opinion contradictoire dans un environnement émotionnel ferme la partie de notre cerveau ouverte à l’influence. Nous aurons ainsi tendance à argumenter pour nous justifier au lieu d’écouter l’autre et trouver ensemble un terrain d’entente plus propice à la compréhension et à l’indulgence.

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3. Relever systématiquement les défauts de son partenaire

Avec le temps, il est normal que nous connaissions mieux notre partenaire. Certains défauts, petits ou grands, peuvent se révéler et nous énerver à la longue. Il faut savoir que la personnalité se forge dès l’enfance et se nourrit de l’expérience. Si vous cherchez à tout prix à relever les défauts de votre compagne ou de votre mari ou si vous vous entêtez à vouloir les changer, vous risquez de mettre en péril votre couple. Nous avons tous nos défauts et l’avantage d’être en couple est de pouvoir mieux se comprendre. Il est désordonné ? Elle est toujours en retard ?… Essayez de discuter et de trouver ensemble le moyen d’aider l’autre et de faire en sorte que ses mauvaises habitudes ne nuisent pas à la vie du couple. Soutenez-vous mutuellement, encouragez et félicitez les efforts aussi moindres soient-ils. Ne laissez pas de place à la critique et aux sarcasmes, c’est la meilleure façon de détruire l’amour. Armez-vous de patience, car « l’amour est patient, il pardonne tout ». Mettez au défi votre amour chaque jour et utilisez son pouvoir bienfaitrice pour panser les plaies et pardonner, mais surtout priez pour votre conjoint(e) pour que Dieu agisse dans sa vie et l’aide à s’améliorer.

4. Ne s’intéresser qu’à soi

Il est tout à fait naturel de s’intéresser à soi, d’aimer parler de soi et de ce que l’on ressent, mais lorsque vous êtes en couple, il ne faut pas oublier que vous êtes désormais deux personnes. Il est ainsi important de s’intéresser à l’autre, de le laisser s’exprimer et d’être à l’écoute, même si à un moment donné ce sont toujours les mêmes histoires qui reviennent. Au lieu de vous emporter parce que le collègue de travail fait une fois de plus la une des discussions, trouvez la force d’être compréhensif et mettez-vous à la place de votre partenaire. Si vous étiez à sa place et que vous rencontriez les mêmes problèmes, comment vous sentiriez-vous et de quel soutien vous auriez besoin ? N’hésitez pas à mettre en place, ensemble, quelques règles de vie comme consacrer du temps pour parler du travail et en discuter, mais réservez aussi des moments privilégiés pour parler du couple et du foyer. Cela vous permettra de canaliser les discussions, de varier les sujets, mais surtout de ne pas sombrer rapidement dans le stress et l’anxiété liés au poids des différentes responsabilités qui vous incombent. Intéressez-vous à ce que votre mari ou votre femme essaie de vous communiquer, cela ne fera que renforcer votre complicité.

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5. Se laisser influencer par les autres

Dès lors qu’un homme et une femme se marient, toutes décisions relevant de leur vie conjugale leur appartiennent. Il est donc crucial de ne laisser aucune tierce personne s’interposer ou influencer votre jugement. La famille, les amis et même les enfants ne doivent pas dicter ce que vous devez faire. Vous pouvez écouter leurs conseils, mais ne les laisser pas creuser un fossé entre vous et l’être aimé au risque de briser votre bonheur.

Un petit bonus pour être heureux en couple… Des recherches ont montré que le sourire augmentait les sentiments de générosité et d’affinité. Accueillez la vie avec le sourire et ne soyez pas avare de sourire avec votre partenaire quelles que soient les difficultés que vous traversez.

Maintenant que vous connaissez ces 5 choses destructrices, à vous d’agir. Il est dit dans Jacques 4:17 que « Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché ».

Par Seheno et la rédaction de Romanvie.ch, mis à jour le 18 mai 2018 – Photos illustrations : Fotolia.com

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Tourisme de la mort : la Suisse fait les titres de la presse mondiale

BÂLEL’Australien David Goodall de 104 ans s’est suicidé ce 10 mai 2018 dans une clinique suisse à Bâle. M. Goodall qui a fait le voyage depuis l’Australie où il habitait ne souffrait pas de maladie terminale et avait toutes ses facultés mentales. Il voulait simplement mettre fin à sa vie. Le 9 mai 2018, ce scientifique de formation né en 1914 à Londres a donné une conférence de presse devant de nombreux journalistes en Suisse, certains ont même fait le long voyage depuis l’Australie pour accompagner ce cas. Justement, l’objectif de M. Goodall était d’attirer l’attention dans son pays pour que l’Australie autorise le suicide assisté. Il a justifié l’envie de se suicider, car il n’avait plus toutes ses facultés physiques. Des grands médias internationaux comme CNN, CBS (plus grande chaîne de TV américaine en terme d’audience) ou la Folha de S.Paulo au Brésil, journal le plus influent d’Amérique latine, ont en parlé longuement ce jeudi 10 mai 2018.  

Suicide assisté 

En Suisse l’équipe médicale prépare le médicament poison, en général une dose élevée de barbituriques (phénobarbital), mais c’est au patient ou dans ce cas à la personne voulant mourir de prendre ce remède mortel. D’où le terme de suicide assisté, si c’était un médecin qui injectait la dose il s’agirait d’un homicide. Il est par ailleurs difficile de trouver en Suisse des médecins voulant pratiquer le suicide assisté. Mais dans le cas de l’Australien, une injection intraveineuse a été préférée à une prise orale, le médecin a préparé et réalisé la piqûre mais M. Goodall a appuyé sur une valvule (pour diluer avec un autre produit) et libérer le poison dans son sang. Le pentobarbital provoque un arrêt du muscle cardiaque et la mort qui s’en suit.

Australie vs. Suisse

En Australie, le suicide assisté est interdit (sauf un état, le Victoria, qui va autoriser le suicide assisté dès 2019 mais sous certaines conditions) alors qu’il est justement autorisé en Suisse depuis des dizaines d’années. De rares autres pays à travers le monde autorisent le suicide assisté comme la Hollande et la Belgique, selon nos informations, ainsi que certains états américains.
En Suisse toute personne saine d’esprit, donc pas forcément malade, et qui a manifesté pendant une certaine période de temps un désir constant de mettre fin à sa vie a le droit de demander un suicide assisté. En Suisse une personne souffrant de dépression n’a pas le droit de se suicider par cette méthode. Dans le cas de cet Australien, une organisation l’a aidé dans ses démarches. Il a passé par deux visites médicales quelques jours avant sa mort le 10 mai 2018. Le coût total de sa mort est estimé à environ CHF 10’000.-, sans compter le voyage en avion depuis l’Australie. La RTS informait dans l’émission de Forum du 9 mai 2018 qu’une recherche de fonds participative (crowd-funding) a été réalisée pour l’aider dans le financement de sa mort planifiée.

Critiques du suicide assisté

En plus de questions religieuses, par exemple la Bible interdit clairement le suicide assisté vu qu’il s’agit d’un homicide (le célèbre commandant : “Tu ne tueras point”), certains milieux séculaires voient aussi cette pratique d’un très mauvais œil, car il peut s’agir d’un chemin plus facile et moins coûteux que les soins palliatifs. Une autre critique est que le patient ou la personne âgée peut se sentir sous pression de mourir afin de ne pas être un poids pour la famille. Les questions liées à l’héritage peuvent aussi poser de sérieux problèmes. Sans compter la difficulté d’établir un diagnostic exact sur la santé psychique de la personne.

Euthanasie

Remarquons finalement que l’euthanasie est différent du suicide assisté. Dans l’euthanasie certaines mesures sont prises par le corps médical pour anticiper ou accélérer la mort du patient, comme par exemple injecter des médicaments mortels ou arrêter certaines machines essentielles pour la survie du patient.

Le 10 mai 2018. Par Xavier Gruffat (Romanvie.ch). Sources : NZZ, Folha de S.Paulo, RTS

Lire aussi : Suisse, le nombre de suicides assistés en augmentation

7 idées pour sortir de la routine

Passé l’euphorie des premiers instants, les couples se complaisent dans leur habitude et tombent souvent dans la routine. Si la routine est rassurante et réconfortante, elle peut aussi devenir un véritable tue-l’amour au fil du temps. Voici quelques idées pour pimenter la vie de couple et éviter que la routine ne s’installe définitivement.

1. Rompez avec vos habitudes

5 idées pour sortir de la routineLes couples ont souvent leurs petites habitudes : soirées télé en semaine, sortie en famille ou entre amis le weekend, vacances à tel endroit à chaque été, etc. Ces habitudes peuvent à la longue être lassantes et chaque partenaire s’y prête presque par obligation, sans vraiment y prendre un réel plaisir. De temps en temps, rompez avec vos habitudes et laissez place à l’imprévu. Même si vous vous complaisez dans votre nid douillet, délaissez-le le temps d’un week-end pour partir en voyage en amoureux. Laissez vos enfants à la garde de vos proches et profitez d’un moment de liberté à deux. Loin des contraintes familiales, vous apprendrez à vous redécouvrir et à raviver cette très forte complicité qui régnait au début de vos relations.

2. Tentez de nouvelles expériences

La meilleure manière de rompre avec la routine dans un couple est d’essayer ensemble une nouvelle activité. Selon vos centres d’intérêt, vous pouvez faire du yoga ensemble, essayer une nouvelle activité physique, prendre des cours de cuisine ou de dessin, ou vous lancer dans une activité à sensation forte. Peu importe l’activité, l’essentiel est que vous passez du bon temps à deux et riez ensemble. Vous aurez ainsi des sujets pour alimenter vos conversations quand vous êtes à deux.

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3. Apprenez à vous manquer

Passer du temps ensemble est nécessaire, mais il est aussi indispensable d’avoir du temps pour soi pour ne pas trop étouffer l’autre. De temps à autre, passez du bon temps, chacun de votre côté. Regardez un match de foot entre amis, faites du shopping entre copines, etc. L’intérêt de passer du temps seul sans votre conjoint(e) vous permet de réapprendre à vous manquer, comme au tout début de votre relation. Vos retrouvailles seront ainsi plus chaleureuses.

4. Réinventez vos jeux de séduction

5 idées pour sortir de la routineBeaucoup de couples font l’erreur de croire que leur partenaire leur est définitivement acquis. Pourtant, maintenir le jeu de séduction au sein du couple permet de pimenter la vie amoureuse et éviter ainsi la routine. Comme au début de votre relation, multipliez les petites attentions envers votre partenaire. Offrez-vous de petits cadeaux, sans forcément attendre les évènements marquants. Surprenez aussi l’autre en lui organisant un petit diner aux chandelles à l’improviste, en l’attendant à la sortie du bureau pour une petite escapade à deux avant de rentrer… les idées sont multiples, à vous de trouver celle qui fera le plus plaisir à votre conjoint(e). Ne négligez pas non plus votre apparence. Prenez soin de vous au quotidien. Votre partenaire appréciera davantage de vous voir soigner votre apparence, expérimenter de nouvelles choses que trainant avec des pantoufles et un peignoir tout au long de la journée.

5. Donnez du sens à vos mots doux

Les mots doux constituent un véritable bol d’air frais dans le couple. On ne s’en lasse jamais et réentendre les mêmes petites expressions qui nous ont séduites aux premiers jours continue à renforcer nos sentiments. Malheureusement, quand le temps passe, les couples ont tendance à les oublier ou à les remplacer par des appellations ordinaires comme « papa » ou « maman ». Parfois, les mots comme « chéri »ou « mon cœur » sonnent un peu faux puisqu’ils deviennent une habitude et se perdent dans la routine. Pour redonner tout leur sens à vos mots doux, prenez le temps de les réinventer. Partagez quelque chose de plus personnel et de vrai, choisissez certains moments privilégiés pour les utiliser et montrez à travers votre regard et votre façon de les prononcer qu’ils signifient quelque chose pour vous.

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6. Faites preuve de romantisme

Le romantisme n’est pas réservé à la période de séduction. Il est important de l’entretenir tout au long de votre vie de couple. Une petite soirée en tête à tête pour se retrouver dans un endroit calme et propice à la magie de l’amour serait l’idéal au moment le plus inattendu. Cependant, surprendre votre partenaire ne demande pas toujours autant d’investissement. Une petite promenade vous offre par exemple l’occasion de cueillir une petite fleur que votre compagne sera fière de mettre dans ses cheveux. Rentrez le soir avec un bouquet à la main et vous ferez une heureuse ! De même, offrir des petits cadeaux, laisser un petit mot attentionné ou être au petit soin au quotidien constitue autant de façon qui vous permet de cultiver le romantisme au sein de votre couple.

7. Communiquez et soyez à l’écoute

On ne le dira pas assez, mais la communication est importante pour le couple. C’est le ciment même de toute relation amoureuse. Comment pourrez-vous espérer rompre la monotonie de votre quotidien si vous ne vous dites pas vos ressentis et vos attentes ? N’oubliez pas non plus que communiquer ce n’est pas uniquement parler, c’est aussi apprendre à écouter l’autre pour mieux comprendre et anticiper ses attentes. Comme il est dit dans le livre de Jacques 1 : 19, « tout homme doit être prompt à entendre, lent à parler ».

Par Seheno et la rédaction de Romanvie.ch, mis à jour le 09 mai 2018 – Photos illustrations : Fotolia.com

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56% des Américains croient dans le Dieu de la Bible

WASHINGTONLa très célèbre et renommée institution de sondage Pew Research Center vient de publier une nouvelle étude qui a montré que 56% des Américains croient dans le Dieu de la Bible. Malgré le fait que 90% des Américains affirment croire en Dieu, 34% croient dans un dieu différent de celui décrit dans la Bible, en le caractérisant notamment de force supérieur et pas du Dieu de la Bible. Ce sondage a aussi montré que 10% des Américains se définissent comme entièrement athée, sans croire à aucune force supérieure.  

Cette étude est intéressante, car elle va un peu plus loin que le simple fait de croire ou non en Dieu dans le plus grand pays chrétien au monde. Autrement dit, elle va plus dans le détail sur la description de Dieu, ce qu’il représente pour chaque individu. Plus de 4’700 adultes américains ont été sondés.

Description du Dieu biblique

Lorsque les chrétiens américains ont été interrogés sur une variété d’attributs ou de caractéristiques possibles de Dieu, ils ont peint en général un portrait qui reflète les enseignements chrétiens communs sur Dieu. Par exemple, 93% des chrétiens croient que Dieu (ou une autre puissance supérieure dans l’univers) aime tout le monde, quels que soient leurs défauts. Près de neuf sur dix (87 %) disent que Dieu sait tout ce qui se passe dans le monde. Et environ huit sur dix (78 %) croient que Dieu a le pouvoir de diriger ou de changer tout ce qui se passe dans le monde.

Les jeunes Américains croient moins dans le Dieu de la Bible

Alors qu’environ deux tiers des adultes de 50 ans et plus disent croire au Dieu biblique, seulement 49% de ceux dans la trentaine et la quarantaine et seulement 43% des adultes de moins de 30 ans disent la même chose. Une proportion similaire d’adultes âgés de 18 à 29 ans disent croire en une autre puissance supérieure (39%) et pas dans le Dieu décrit dans la Bible.

Les Américains très instruits sont moins enclins à croire en Dieu de la Bible

Parmi les adultes américains ayant fait des études secondaires ou moins, les deux tiers disent croire en Dieu tel que décrit dans la Bible. Parmi les diplômés universitaires, moins de la moitié (45%) affirme croire dans un Dieu biblique.

Républicains vs. Démocrates

Sans trop de surprise, pour ceux qui suivent la politique américaine, les Républicains (parti de Trump ou Bush) – un parti conservateur – croient plus en Dieu que les Démocrates (part de Obama ou Clinton) – un parti progressiste. Ils ont des conceptions très différentes de Dieu. Parmi les Républicains et ceux qui se penchent vers ce parti (appelé aussi GOP), sept sur dix disent croire en Dieu tel que décrit dans la Bible. En revanche, les Démocrates et ceux qui ont un penchant pour ce parti sont beaucoup moins enclins à croire en Dieu tel que décrit dans la Bible (45%), et sont plus enclins que les Républicains à croire en un autre type de pouvoir supérieur (39% contre 23%).

Le Pew Research Center, basé à Washington D.C. est spécialisé en particulier dans les sondages à travers le monde au sujet de la religion et la foi.

Le 29 avril 2018. Par Xavier Gruffat. Source : Pew Research Center

La répartition des tâches ménagères : un indicateur du bonheur dans le couple ?

Avec la question d’argent, la réparation des tâches ménagères est l’un des principaux sujets de dispute au sein du couple. Si le partage n’est pas équitable, cela peut créer de la rancœur et conduire, si vous ne faites pas attention, à la séparation. Plusieurs études ont montré que les couples qui se répartissent équitablement les tâches ménagères sont les plus heureux.

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Tâches ménagères et bonheur conjugal

La répartition des tâches ménagères : un indicateur du bonheur dans le couple ?L’institution américaine Council on Contemporary Families a déclaré en 2006 que s’il y avait une tâche ménagère dont le partage inégal peut nuire au couple c’est la vaisselle. L’étude réalisée par cette institution a démontré que dans le couple où les femmes effectuaient majoritairement cette tâche, une tension plus accrue est perçue au sein du ménage, tant sur le plan relationnel que sur le plan sexuel. Anne Barrett, la directrice de l’Institut Pepper sur le vieillissement de la population et des politiques publiques au sein de l’Université de Floride affirme que le sentiment d’injustice engendrée par la répartition inéquitable des tâches ménagères, surtout si elle se fait au détriment de la femme, fait baisser le taux de satisfaction sexuelle.

Une étude réalisée par l’université de l’Illinois sur près de 220 couples américains nouvellement mariés montre que les couples qui se répartissent équitablement les tâches ménagères sont plus heureux que les autres. Cette étude a révélé que si l’un des deux partenaires estime que l’autre ne fait pas sa part de corvée, le bonheur conjugal ne perdure pas. La frustration est d’autant plus grande après l’arrivée d’un enfant.

Les 2 premières années de mariage : une période déterminante

Comment éviter que les poubelles non sorties, les vaisselles qui s’amoncellent sur l’évier et d’autres tâches ménagères non accomplies ne nuisent à votre couple ? La réponse est simple, déterminez les règles du jeu dès le début du mariage. Brian Olgolsky, un chercheur en développement humain et en études familiales affirme que c’est pendant les deux premières années de mariage ou de vie commune que doit se faire la négociation de la réparation des tâches. Après ces deux années, un schéma est établi et il est difficile de le changer par la suite. La frustration du partenaire lésé augmentera au fil des années, ce qui conduira fatalement à des disputes et peut-être à la séparation.

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Établir les règles c’est bien, s’y tenir est encore mieux. Comment faire dans ce cas pour que la répartition des tâches soit respectée au fil du temps ? Ce n’est pas toujours facile, mais essayez de respecter la manière dont l’autre exécute sa part des tâches. Ainsi, évitez les critiques qui peuvent blesser inutilement. Si votre partenaire commence le nettoyage de la maison par la cuisine au lieu du salon, il n’y a pas de raison de reprendre ce qu’il a déjà fait, l’essentiel est que la maison soit propre. Si un jour l’un de vous se sent plus fatigué que d’habitude, soyez indulgent(e) et entraidez-vous. Profitez de ces moments passés ensemble à s’occuper de votre foyer pour vous retrouver et renforcer votre complicité.

Par Seheno et la rédaction de Romanvie.ch, 26 avril 2018 – Photos illustrations : Fotolia.com

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La dépendance au numérique augmente la solitude, l’anxiété et la dépression

SAN FRANCISCOUne étude menée auprès de 135 étudiants de l’Université d’État de San Francisco a révélé que les plus grands utilisateurs de téléphones intelligents étaient les plus déprimés, les plus anxieux et les plus solitaires.

Usage intensif du numérique et problème de dépendance

La dépendance au numérique augmente la solitude, l'anxiété et la dépressionLes smartphones font désormais partie intégrante de la vie de la plupart des gens. Ils nous permettent de rester connectés, d’accéder rapidement aux informations et d’être au courant de tout à tout moment. L’inconvénient de cette commodité est que beaucoup d’entre nous deviennent également dépendants des pings, carillons, vibrations et autres alertes constantes de nos appareils au point de ne plus pouvoir ignorer les nouveaux courriels, textes et images qui y sont diffusés.
Dans une nouvelle étude publiée dans NeuroRegulation, Erik Peper, professeur d’éducation sanitaire à l’Université d’État de San Francisco, et Richard Harvey, professeur agrégé d’éducation sanitaire, affirment que la surconsommation de téléphones intelligents est comme tout autre type d’abus de substances. “La dépendance comportementale liée à l’utilisation de téléphones intelligents commence à former des connexions neurologiques dans le cerveau de la même façon que la dépendance aux opioïdes qui apparaît chez les personnes qui prennent de l’Oxycontin pour soulager la douleur – et ce, progressivement “, a expliqué le Prof. Peper.

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Une dépendance néfaste pour les liens sociaux

La dépendance à la technologie des médias sociaux peut avoir un effet négatif sur les liens sociaux. Dans une enquête menée auprès de 135 étudiants de l’État de San Francisco, le Prof. Peper et le Prof. Harvey ont constaté que les étudiants qui utilisaient leur téléphone étaient les plus nombreux à se sentir isolés, seuls, déprimés et anxieux. Ils croient que la solitude est en partie une conséquence du remplacement de l’interaction face à face par une forme de communication où le langage corporel et d’autres signaux ne peuvent être interprétés. Ils ont également constaté que ces mêmes élèves étaient presque constamment multitâches lorsqu’ils étudiaient, regardaient d’autres médias, mangeaient ou assistaient à des cours. Cette activité constante laisse peu de temps au corps et à l’esprit pour se détendre et se régénérer, selon le Prof. Peper, et aboutit également à une “semi-tâche”. C’est-à-dire que les gens font deux tâches ou plus en même temps, mais la moitié de ces tâches n’est pas aussi bien réalisée que s’ils se concentraient sur une tâche à la fois.

Une dépendance involontaire

Les professeurs Peper et Harvey font remarquer que la dépendance au numérique n’est pas notre faute, mais plutôt le résultat du désir de l’industrie de la technologie d’augmenter les profits des entreprises. “Plus d’yeux, plus de clics, plus d’argent,” note le Prof. Peper. Les notifications poussées, les vibrations et autres alertes sur nos téléphones et ordinateurs nous obligent à les regarder en déclenchant les mêmes voies neurales dans notre cerveau qui nous ont alerté d’un danger imminent, comme l’attaque d’un tigre ou d’un autre grand prédateur. “Mais maintenant, nous sommes détournés par les mêmes mécanismes qui nous protégeaient autrefois et qui nous ont permis de survivre – pour les informations les plus insignifiantes “, ajoute-t-il.

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Des bonnes habitudes qui changent tout

Mais tout comme nous pouvons nous entraîner à manger moins de sucre, par exemple, nous pouvons nous prendre en charge et nous entraîner à être moins dépendants de nos téléphones et de nos ordinateurs. La première étape consiste à reconnaître que les entreprises de technologie manipulent nos réponses biologiques innées au danger. Le Prof. Peper suggère de désactiver les notifications push, de ne répondre aux courriels et aux médias sociaux qu’à des moments et à des périodes précises, sans interruption pour se concentrer sur des tâches importantes.

Deux de ses élèves affirment qu’ils ont pris des mesures proactives pour changer leurs habitudes d’utilisation de la technologie. Khari McKendell, major en loisirs, parcs et tourisme, a fermé tous ses comptes de médias sociaux il y a environ six mois parce qu’il voulait établir des liens plus solides avec les gens en personne. “Je continue d’appeler et d’envoyer des SMS aux gens, mais je veux m’assurer que la majorité du temps, je parle à mes amis en personne “, dit-il.

L’aînée, Sierra Hinkle, une mineure en santé holistique, dit qu’elle a cessé d’utiliser des écouteurs pendant qu’elle marchait afin d’être plus consciente de ce qui l’entoure. Quand elle sort avec des amis, ils mettent tous leur téléphone au centre de la table, et le premier à toucher le leur achète les boissons. “Nous devons devenir créatifs et aborder la technologie d’une manière différente qui incorpore toujours les compétences dont nous avons besoin, mais qui n’enlève rien à l’expérience de la vie réelle “, a déclaré le Prof. Hinkle.

Par la rédaction de Romanvie.ch. Le 24 avril 2018. Sources : étude publiée dans le journal NeuroRegulation – Photo illustration : Fotolia.com

5 éléments clés de la Réforme protestante

L’année 2017 a marqué les 500 ans de la Réforme protestante. En effet, le 31 octobre 1517 Martin Luther a cloué sur une porte de l’Église du château (Schlosskirche) à Wittenberg en Allemagne ses “95 Thèses”. Cet acte est souvent considéré comme le début de la Réforme protestante, qui a changé une grande partie de la société européenne et laissé un héritage technologique et ecclésiologique durable dans le monde entier. 

On peut résumer le travail de Martin Luther sur la Réforme protestante par 5 piliers :

1. Sola Scriptura (“Seulement les Ecritures”) : La Bible uniquement est la plus haute autorité.

2. Sola Fide (“Seulement la foi”) : Nous sommes sauvés seulement par la foi en Jésus Christ.

3. Sola Gratia (“La grâce seulement”) : Nous sommes sauvés seulement par la grâce de Dieu.

4. Solus Christus (“Jésus Christ seulement”) : Jésus Christ uniquement est notre Seigneur, Sauveur et Roi.

5. Soli Doe Gloria (“A la gloire de Dieu seulement”) : Nous vivons pour la gloire de Dieu uniquement.

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Le 22 avril 2018 – Par Xavier Gruffat (Fondateur de Romanvie.ch). Xavier Gruffat étudie la théologie comme hobby depuis 2016. Crédits photos et infographies : Fotolia.com et Pharmanetis Sàrl 

Dépenses de santé 2016 en Suisse : 80,7 milliards de francs au total

Dépenses de santé 2016 en Suisse : 80,7 milliards de francs au totalNEUCHÂTELLes dépenses de santé en Suisse se sont montées à 80,7 milliards de francs au total en 2016 selon les normes de l’OCDE, ce qui représente une hausse de 3,8% en un an. La part des dépenses de santé rapportée au produit intérieur brut est passée de 11,9% à 12,2%. Ce sont là les résultats des chiffres provisoires de l’Office fédéral de la statistique (OFS) sur le coût et le financement du système de santé en 2016.
Les dépenses de santé se sont accrues de 3,8% en 2016, une augmentation qui correspond à la tendance des cinq dernières années. Dans le contexte d’une hausse du produit intérieur brut (PIB) aux prix courants de 0,8%, le rapport entre les dépenses de santé et le PIB a continué de croître pour atteindre 12,2% en 2016 (contre 11,9% l’année précédente).

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Croissance des dépenses de santé dans la moyenne des cinq dernières années

La hausse des dépenses de santé (+3,8%) se chiffre à 3,0 milliards de francs, dont 81,1% (2,4 mrds) sont imputables à la hausse des dépenses dans les hôpitaux (+1,3 mrd), les institutions médico-sociales (+0,4 mrd), les cabinets médicaux (+0,2 mrd) et chez les autres fournisseurs de soins ambulatoires (+0,5 mrd). Ces quatre fournisseurs de prestations représentent ensemble 77,4% des coûts de la santé.

Les résultats rapportés au taux de croissance des cinq dernières années varient cependant selon le groupe de fournisseurs de prestations. La croissance en 2016 a été inférieure à la moyenne notamment pour les cabinets médicaux (+1,5%), les organismes de prévention et d’assistance (+0,6%) et les prestataires de services auxiliaires (par ex. laboratoires et secours: +7,9%). Elle a été supérieure à la moyenne pour le groupe des «Autres fournisseurs de soins ambulatoires» (aide et soins à domicile et physiothérapie principalement: +10,4%).

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803 francs par mois pour le système de santé

En 2016, les dépenses mensuelles de santé ont atteint 803 francs par habitant, soit 21 francs de plus que l’année précédente. Elles ont été couvertes à raison de 286 francs (+9) par l’assurance-maladie obligatoire, de 50 francs (+/-0) par des assurances sociales telles que l’AVS, l’AI et l’assurance-accidents, de 30 francs (+/-0) par d’autres prestations sociales sous condition de ressources et de 53 francs (+2) par les assurances complémentaires. L’État y a contribué pour 139 francs (-1) et d’autres financements privés pour 11 francs (+/-0). En plus des primes d’assurance maladie et des impôts, les ménages ont dû débourser directement le solde, soit 235 francs (+10). Ce montant comprend en particulier le financement des prestations des établissements médico-sociaux, des traitements dentaires ainsi que la franchise et la participation aux frais prévues par l’assurance-maladie pour les traitements hospitaliers et ambulatoires.

Le 19 avril 2018. Sources : OFS. Découvrez Creapharma.ch, site suisse sur la santé

Le taux de chômage a beaucoup baissé à Lausanne en mars 2018

Chômage stable à Lausanne en mars, Renens commune la plus touchéeLAUSANNE – Dans la commune de Lausanne, le taux de chômage en mars 2018 s’est élevé à 5,6%. En comparaison avec le Canton de Vaud, Lausanne présente un taux de chômage passablement supérieur à la moyenne cantonale. En général, les grandes villes sont plus touchées par le chômage que les petites villes ou villages.

Par rapport au moins précédent, avec un taux de chômage de 6,3%, le nombre de personnes activement à la recherche d’un emploi a passablement diminué. Par rapport à l’année précédente à la même période, avec un taux de chômage de 6,9%, le nombre de personnes activement à la recherche d’un emploi a beaucoup diminué.

Si on regarde les autres grandes villes du Canton de Vaud avec plus de 3’000 habitants, la commune la plus touchée par le chômage ce mois avec 5,8% est Renens. La moins touchée est Epalinges avec seulement 2,6% de chômage.

Le 13 avril 2018. Par Xavier Gruffat. Source : www.scris.vd.ch

Photo d’illustration : Fotolia.com – Sources: Statistiques officielles du Canton de Vaud.