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Les villes les plus et les moins “bibliques” des Etats-Unis

confirmation de baptèmeWASHINGTONUne organisation américaine, The American Bible Society, a publié il y a quelques jours un classement de 100 villes américaines  de première importance en fonction de la dévotion de ses habitants à la lecture de la Bible et à leurs opinions générales sur les écritures sacrées. On sait que 78,4% de la population américaine se définit comme chrétienne, comme l’informe le Pew Research Center.

Pour les chercheurs de l’American Bible Society, une personne est considérée comme “biblique” (Bible-minded en anglais) lorsqu’elle affirme avoir lu la  Bible au moins une fois pendant les 7 derniers jours avant le sondage ou qu’elle croit fortement à son exactitude.

Aux Etats-Unis, en moyenne 27% de la population est considérée comme “biblique”, selon ces critères d’évaluation.

“Bible Belt”

Les 3 villes les plus “bibliques” qui apparaissent en première position sont Birmingham, Anniston et Tuscaloosa, les 3 localisées en Alabama dans le sud des Etats-Unis.  Un état où la religion baptiste est très pratiquée, l’Alabama appartient à la “Bible Belt” (la ceinture biblique), une région du sud et sud-est des Etats-Unis dans laquelle vit un nombre élevé de chrétiens notamment  évangéliques.  En 2ème et 3ème position on trouve deux villes du Tennesse (voir le classement ici), un autre état de la “Bible Belt”.

Côte ouest et nord-est

A l’inverse, les villes les moins religieuses sont, sans surprise, des villes de la côte ouest et du nord-est américain. Citons notamment New York en 91ème position, San Francisco en 97ème position ou Boston en 98ème position.

Une Amérique divisée

Ce que peu de gens savent en Suisse, c’est que l’Amérique est toujours plus divisée entre conservateurs et libéraux.  Les conservateurs votent en général pour le parti Républicain et sont majoritaires dans le sud et le sud-est des Etats-Unis, voire dans certains états du centre des Etats-Unis. Les libéraux ou progressistes votent en général pour le parti Démocrate et sont majoritaires dans les grands états de la côte ouest (Californie, Washington) et de la côte est (New York, états de la Nouvelle Angleterre), en général plus progressistes à cause de l’influence de la communauté juive libérale (ex. New York) et des homosexuels (ex. San Francisco). Notons toutefois que les conservateurs blancs votent en grand majorité pour le parti républicain. Les Afro-Américains, qu’ils soient d’un état du sud ou du nord, votent en général pour le parti démocrate.

Lire aussi : Les protestants et évangéliques au pouvoir aux Etats-Unis

Par Xavier Gruffat, le 25 janvier 2015. Sources: The Blaze, Pew Research Center, communiqué de presse de The American Bible Society, Wikipedia.org

Découvrez le classement complet ici

Deux nouvelles organisations sportives internationales à Lausanne

Deux nouvelles organisations sportives internationales à LausanneLAUSANNEL’International World Game Association (IWGA) et la Fédération Internationale de Bowling (World Bowling) ont décidé de s’établir à Lausanne. Ce sont donc 55 organisations sportives internationales qui ont installé leur siège au coeur de la Capitale Olympique et dans le canton de Vaud.

L’IWGA et World Bowling ont toutes deux décidé de quitter les Etats-Unis pour venir s’installer au coeur de la capitale du sport international. Les bureaux de l’IWGA et de World Bowling seront situés à la Maison du Sport International (MSI) à Lausanne, un concept unique en son genre destiné à l’accueil des fédérations sportives internationales.

Pour sceller son arrivée, l’IWGA tiendra sa prochaine réunion du comité exécutif les 21 et 22 janvier à Lausanne et désignera la ville hôte des World Games 2021 parmi Ufa (Russie), Birmingham (Etats-Unis) et Lima (Pérou).

Les 8 et 9 août 2015, ce sera au tour de World Bowling d’accueillir une réunion de son conseil d’administration au sein de la Capitale olympique.

Patrice Iseli, chef du Service des sports de la Ville de Lausanne : « Nous sommes enchantés de l’arrivée de l’IWGA et de World Bowling au sein de la Capitale Olympique et nous leur souhaitons la bienvenue au sein de notre communauté qui ne cesse de s’agrandir. La Ville de Lausanne est fière d’être la capitale du sport international et le choix de ces deux organisations de venir s’y installer est la preuve que l’environnement que nous nous efforçons de créer est attractif ».

Nicolas Imhof, chef du Service de l’éducation physique et du sport du Canton de Vaud : « Le réseau des fédérations internationales ainsi que des entreprises privées et des milieux académiques basés dans le canton de Vaud est en perpétuelle évolution et crée en permanence de nouvelles synergies. Je n’ai aucun doute que l’IWGA et World Bowling pourront toutes les deux bénéficier et contribuer à ce réseau. C’est avec grand plaisir que nous les accueillons au sein de la Capitale Olympique ».

Source : Bureau d’information et de communication de l’Etat de Vaud, Lausanne le 21 janvier 2015

Hold-up dans une bijouterie à Montreux – appel à témoin

Hold-up dans une bijouterie à Montreux - appel à témoinVAUDJeudi 15 janvier 2015, vers 11h45, trois hommes ont commis un brigandage à main armée dans une bijouterie de Montreux. Après avoir dérobé des montres et bijoux de valeur, les auteurs ont pris la fuite à pied dans une direction indéterminée. Les trois employés présents ne sont pas blessés mais choqués. La Police cantonale vaudoise lance un appel à témoin.

Jeudi 15 janvier 2015, vers 11h45, un brigandage à main armée a été commis dans une bijouterie de la Grand-Rue à Montreux. Tout en menaçant les trois employés présents dans le commerce au moyen d’une arme de poing, les trois agresseurs ont dérobé des montres et bijoux de valeur avant de prendre la fuite à pied dans une direction indéterminée. Les trois employés de la bijouterie, âgés de 58, 39 et 27 ans, n’ont pas été blessés mais sont très choqués.

La Police cantonale vaudoise a immédiatement mis en place un important dispositif de recherches, en collaboration avec les différentes polices communales du canton, les polices cantonales voisines et les gardes-frontière. Les trois auteurs n’ont pas été interpellés pour l’instant.

Les agresseurs correspondent au signalement suivant :

UN INCONNU (1), 180-182 cm environ, de race blanche, 30 ans environ, corpulence mince à moyenne, cheveux châtain clair, yeux clairs, portait une barbe et de grandes lunettes carrées. Avait quelques taches de rousseur sur le visage. Etait vêtu d’un béret gris-beige, genre Prince de Galles, d’un veston gris-beige, pantalon foncé et chaussures de villes foncées. Portait un sac en bandoulière foncé avec une bande blanche et avait un pistolet.

UN INCONNU (2), 170-175 cm environ, de race blanche, 25-35 ans, corpulence moyenne. Portait un bonnet noir, était vêtu d’une veste de type doudoune brun foncé, d’un jean bleu foncé et des chaussures foncées. Portait un sac à dos foncé.

UN INCONNU (3), 170-175 cm environ, de race blanche, 25-35 ans, corpulence moyenne. Portait une casquette foncée, une veste de type doudoune foncée avec capuchon, un jean bleu et des chaussures baskets avec une ligne blanche sur la semelle et un motif rouge à l’arrière de la chaussure. Portait un sac à dos foncé.

Les auteurs s’exprimaient en langue slave.

La Police cantonale vaudoise prie les éventuels témoins de contacter les enquêteurs de la Division criminelle de la Police de sûreté au numéro 021 644 44 44 ou le poste de police le plus proche.

Cette agression a nécessité l’intervention de nombreuses patrouilles de la Gendarmerie vaudoise et des polices communales du canton, ainsi que de la brigade canine. Une enquête pénale a été ouverte par la procureure de service. Les investigations sont actuellement menées par les inspecteurs de la Division criminelle et le service de l’identité judiciaire de la Police de sûreté.

Communiqué de la Police vaudoise, le 15 janvier 2015

Brigandage dans une boucherie à Vallorbe – appel à témoin

Brigandage dans une boucherie à Vallorbe - appel à témoinVAUDJeudi 15 janvier 2015, vers 06h30, un brigandage a été commis dans une boucherie de la Grand-Rue à Vallorbe. Après avoir menacé le boucher au moyen d’une arme de poing, un homme a dérobé le contenu de la caisse avant de prendre la fuite à pied, dans une direction indéterminée. La victime n’est pas blessée mais choquée. La Police cantonale lance un appel à témoin.
Jeudi 15 janvier 2015, vers 06h30, un brigandage a été commis dans une boucherie sise à la Grand-Rue de Vallorbe. Un homme a menacé le patron du négoce au moyen d’une arme de poing. Après avoir volé le contenu de la caisse, il a pris la fuite à pied dans une direction indéterminée.
Le boucher, un Suisse de 34 ans, domicilié dans la région, n’a pas été blessé mais est choqué.

Malgré la mise en place d’un important dispositif de recherches en collaboration avec les gardes-frontière, l’auteur n’a pas été interpellé pour l’instant. L’auteur correspond au signalement suivant :

Un homme de 25-35 ans, 170-175 cm environ, de corpulence mince, vêtu d’un bas de training gris clair et d’une veste à capuchon gris foncé, baskets bleu marine avec gros lacets, portait une casquette de couleur indéterminée. A parlé en français sans accent particulier.

La Police cantonale vaudoise prie les éventuels témoins de contacter les enquêteurs de la Division criminelle de la Police de sûreté au numéro 021 644 44 44 ou le poste de police le plus proche.

Cette agression a nécessité l’intervention d’une douzaine de patrouilles de la Gendarmerie vaudoise et de la brigade canine. Les investigations sont actuellement menées par les inspecteurs de la Division criminelle et le service de l’identité judiciaire de la Police de sûreté.

Communiqué de la Police vaudoise, le 15 janvier 2015

Photo d’illustration : © pixarno – Fotolia.com

Brigandage dans un kiosque à la gare de Renens

Brigandage dans un kiosque à la gare de RenensVAUDMardi peu après 19h30 un individu a menacé le gérant du kiosque de la gare de Renens au moyen d’une arme de poing. Il s’est emparé du contenu de la caisse et a pris la fuite à pied. La police lance un appel à témoin.
Mardi 13 janvier 2015, à 19h38, le gérant du kiosque de la gare de Renens a avisé la police via le numéro d’urgence 117 qu’il venait d’être victime d’une agression. Un individu s’est introduit dans le commerce et a, au moyen d’une arme de poing noire, menacé le gérant lui demandant le contenu de la caisse. Il s’est emparé des billets et a pris la fuite à pied dans une direction inconnue. Au moment des faits, le gérant se trouvait dans le commerce en compagnie d’une cliente qui n’a pas été menacée. La victime n’est pas blessée mais choquée.

L’auteur correspond au signalement suivant :

Un inconnu, mesurant 185 cm environ, costaud et de corpulence massive. Il était habillé avec un jeans bleu clair, une veste avec capuche de couleur noire. Il portait une écharpe noire devant le visage et était armé d’un pistolet noir. Il parlait le français sans accent particulier.

Rapidement sur les lieux, la gendarmerie a procédé avec la Police de l’Ouest et la Police municipale de Lausanne à des contrôles et recherches dans le secteur, sans succès pour l’instant. Les investigations sont menées par les inspecteurs de la division criminelle et de l’Identité judiciaire de la Police de sûreté. Le procureur de service a été avisé et a ouvert une instruction judiciaire.

La police lance un appel à témoin et prie les personnes ayant des informations à fournir, et en particulier la dernière cliente du kiosque le soir de l’agression, de prendre contact les enquêteurs de la Police de sûreté au numéro 021 644 44 44 ou le poste  de police le plus proche.

Communiqué de la Police vaudoise, le 14 janvier 2015

Photo d’illustration : © mario beauregard – Fotolia.com

Italienne tuée au Brésil, l’affaire piétine

facebook-photoSAO PAULOUne touriste italienne résidant à Paris, Gaia Molinari, a été retrouvée morte le 25 décembre, le 11 janvier le cas n’a pas encore été élucidé. Mme Molinari voyageait dans un endroit paradisiaque situé dans le nord du Brésil à 287 km de Fortaleza, Jericoacoara, considéré comme l’une des plus belles plages du monde. Endroit très fréquenté par les touristes brésiliens mais aussi internationaux. Le lieu a une réputation d’endroit alternatif, visité notamment par des hippies, mais pas seulement.

Etranglée

Selon la police, la jeune femme de 29 ans a été étranglée et a subi d’autres sévices corporels notamment provoqués par des objets tranchants.  Un suspect a été arrêté puis ensuite libéré par manque de preuves. Aucune violence sexuelle n’a été constatée sur le corps de la victime ni vol d’objets ou habits.
Le corps a été retrouvé le 25 décembre dans la région de Pedra Furada, proche de la plage de Jericoacoara.

Arrestation de son “amie” ?

Le 29 décembre, les médias brésiliens mentionnaient l’arrestation de l’ “amie” brésilienne Mirian França de Melo, pharmacienne de 31 ans et habitante de Rio de Janeiro, à cause de contradictions dans son témoignage. Mme Molinari aurait connu cette “amie” brésilienne quelques jours auparavant dans une auberge (hostel) à Fortaleza dans laquelle elle résidait depuis le 16 décembre. Elles ont ensuite voyagé ensemble le 21 décembre jusqu’à Jericoacoara et sa région. Selon le site G1 de Globo, l’Italienne a laissé des affaires personnelles comme son passeport et un ordinateur dans cette auberge distante de plus de 250 km de Jericoacoara. Le 9 janvier, la pharmacienne était toujours en prison.
Mirian França de Melo, noire (afro-brésilienne), a grandi dans les quartiers pauvres de Rio de Janeiro. Sa mère et son avocat accusent les autorités brésiliennes (justice, police) de racisme en l’accusant, selon eux, à tort.

Selon la police brésilienne, il y aurait d’autres suspects que cette pharmacienne et la résolution du cas semble complexe, comme affirme la personne responsable de l’affaire Mme Patrícia Bezerra. Une hypothèse possible pourrait être un ménage à trois et des histoires sentimentales, pour ne pas dire sexuelles.

Selon un médecin légiste, le corps de l’Italienne a été soumis à beaucoup de violence et le médecin estime que 2 personnes au moins pourraient être impliquées dans cet homicide.

Mme Molinari voyageait en Amérique latine et notamment à travers le Brésil  où elle a visité plusieurs endroits comme Rio de Janeiro, Fortaleza puis la région de Jericoacoara dans le nord-est du pays. Sa prochaine destination était le Chili, où elle devait comme au Brésil effectuer des activités sociales et des petits travaux (ex. service dans un restaurant), avant de probablement rentrer en Europe. Mme Molinari appartenait à une relativement riche famille italienne. Elle travaillait actuellement à Paris dans les relations publiques pour une multinationale.

Enterrement

L’enterrement de Mme Molinari est prévu pour le samedi 17 janvier en Italie dans la province de Piacenza.

Violence en Amérique latine

Alors que le Brésil compte plus de 100 homicides par jour principalement liés au monde de la drogue et qu’il est difficile de mentionner systématiquement toute cette violence dans les médias, ce meurtre est très médiatisé au Brésil par les grands médias nationaux comme R7 (Groupe Record), Globo ou Folha de S.Paulo (qui édite uol.com.br, le site le plus visité du Brésil). En Italie aussi les grands médias comme La Repubblica et la RAI ont médiatisé l’affaire.

La violence est endémique en Amérique latine avec seulement au Brésil environ 55’000 homicides par an (2013), soit 10% du total mondial des crimes mortels. Dans les grandes villes du Brésil comme à Sao Paulo les personnes de la bourgeoisie et de la classe moyenne supérieure résident dans des appartements ou maisons protégées 24h sur 24 et 7j sur 7 par des gardiens, avec souvent des protections électriques. L’Argentine et l’Uruguay ont été à un moment un peu préservé par cette violence, mais avec la crise récente, surtout en Argentine, la violence a massivement augmenté. Des villes comme Buenos Aires sont souvent touchées par des crimes horribles comme en 2014 le meurtre d’une jeune fille chilienne venue étudier dans la capitale argentine. Le Mexique, certains pays d’Amérique centrale et surtout le Venezuela ont parfois des taux d’homicides se rapprochant de zones de guerre. L’OMS considère qu’un taux d’homicide de plus de 10 par 100’000 habitants par an (en Suisse moins de 1), comme le Venezuela avec plus de 50,  représente une épidémie (de violence).

Le 29 décembre 2014, mis à jour le 11 janvier 2015. Par Xavier Gruffat (rédacteur en chef de Romanvie.ch). Sources: Folha de S.Paulo, Globo, Repubblica.it, Facebook (photo), Istoé.

Lire aussi : Un Suisse tué dans le nord de l’Argentine

Avalanches : attention à l’entretien de votre DVA !

Avalanches : attention à l’entretien de votre DVA !VALAISL’hiver dernier, un randonneur à skis équipé d’un DVA a perdu la vie dans une avalanche. Les sauveteurs n’ont pas pu détecter le signal émis par son appareil DVA pourtant positionné sur « émission ». Il ressort de l’enquête que l’appareil était défectueux.
L’opération de sauvetage n’avait pas permis de retrouver la victime car aucun signal DVA n’était capté. Les mauvaises conditions météorologiques ont ensuite forcé les secouristes à suspendre les recherches. Le randonneur a été retrouvé le surlendemain, grâce à son DVA, qui émettait à nouveau.

Sur demande du Procureur en charge de l’enquête, une analyse du DVA de la victime a été effectuée en laboratoire par un ingénieur spécialisé. Il ressort de ce test que l’appareil de la victime était défectueux en raison d’interruptions de l’alimentation électrique liées au taux d’humidité dans le compartiment à piles. L’origine de cette variabilité d’émission de l’appareil résulte de résidus d’acide, provenant d’anciennes piles, qui avaient coulé sur les contacteurs du DVA. Ces analyses démontrent que l’humidité due à la transpiration mais également en raison de la grande profondeur d’ensevelissement de la victime n’ont pas permis aux secouristes de capter un signal durant la première intervention car il était trop faible, voire nul, pour être capté. Le surlendemain, l’humidité contenue dans le DVA s’étant évaporée, l’appareil émettait à nouveau un signal qui a pu être réceptionné et qui a permis la découverte de la victime.

Il ne suffit donc pas de procéder au contrôle d’usage « émission – réception » en début de randonnée mais de suivre également ces conseils :

– Retirez vos piles durant la saison d’été

– Contrôlez la surface des contacteurs à l’intérieur du compartiment à piles

– Entreposez votre DVA dans un endroit tempéré durant l’hiver

– Faites réviser votre DVA en respectant le délai donné par le fabricant

– Effectuez les mises à jour

– Entraînez-vous régulièrement avec votre appareil Faites un contrôle DVA avant chaque course

Et bien entendu, n’oubliez pas de respecter la montagne et de vous y élancer uniquement si vous avez les connaissances et l’expérience requises tout en étant en possession du matériel indispensable (DVA, sonde, pelle, moyens de liaisons, évt air-bag). Nous encourageons les passionnés à suivre des cours de prévention avalanches. Et l’encadrement par un guide de haute montagne sera toujours une garantie supplémentaire lors de vos excursions.

Prudence ! Bel hiver, joyeux Noël et bonnes fêtes !

Source : Communiqué de la Police valaisanne. Le 23 décembre 2014.

Le plus beau cadeau à offrir…

Le plus beau cadeau à offrir…Noël fait partie de ces évènements spéciaux au sein du couple et pendant lequel on aime offrir et recevoir des cadeaux. C’est ce qui a éveillé ma plume puisque la question de trouver le bon cadeau, le cadeau idéal qui ne risque ni de déplaire à celui qui le reçoit, ni bien entendu de décevoir celui qui l’offre, grâce au plaisir qu’il apporte, reste parfois un exercice difficile. Même les couples qui se connaissent depuis des années se trouvent encore confrontés au dilemme du cadeau.

Si vous avez une âme de père Noël, c’est sûr que vous n’aurez aucune difficulté à faire le bon choix. Malheureusement, c’est loin d’être le cas de tout le monde et quelques conseils s’imposent pour surprendre et faire des heureux et des heureuses !

Qu’est-ce qu’un cadeau ?

Le dictionnaire définit généralement le cadeau comme étant « un objet que l’on offre à quelqu’un pour son plaisir ». Dans la vie d’un couple, il serait bien d’élargir la notion de cadeau et ne pas se limiter au mot « objet ». Un cadeau peut être différent, insaisissable, inquantifiable, mais que l’on peut voir ou ressentir. Qu’est-ce qui vous est précieux ? Votre temps ? Offrez-le à votre partenaire. Qu’est-ce que vous avez de spécial ? Votre voix ? Votre talent culinaire ? Votre sens de l’humour ? N’hésitez pas à puiser dans votre richesse personnelle pour faire plaisir à celle ou celui que vous aimez.

Le plus beau cadeau à offrir…L’expression « pour son plaisir » est aussi intéressante dans cette définition, car elle permet justement de définir ce que le cadeau n’est pas. En effet, il ne s’agit pas de quelque chose que l’on offre parce qu’on l’a trouvé beau, utile, intéressant ou parce qu’il nous plaît. Le cadeau doit faire plaisir à l’autre, doit être désintéressé et totalement gratuit. Il peut sembler inutile et insignifiant pour soi, mais être spécial pour sa compagne ou son compagnon. On n’offre pas pour recevoir en retour, mais on offre pour faire plaisir. Attention, le cadeau n’est donc pas :

– Ce présent que vous avez toujours rêvé de recevoir et qu’on ne vous a jamais offert.

– Quelque chose que vous avez envie de voir votre épouse ou votre époux porter ou utiliser, car ce serait un cadeau pour vous-même, un peu comme la lingerie pour le Saint Valentin !

– Une source de contraintes à la manière des plantes ou des animaux domestiques et autres présents qui nécessitent du temps et de prise de responsabilité non souhaitée.

– Une façon d’étoffer une envie. Si votre épouse désire ardemment avoir ce sac de marque au prix démesuré qui se trouve dans le magasin à côté de chez vous, ce n’est pas la peine de lui acheter quelque chose de similaire. Il est préférable d’attendre d’avoir les moyens et d’être attentif aux autres choses qui lui manquent.

– Quelque chose qu’on offre parce qu’il faut absolument offrir.

Ce que votre cadeau doit être :

– Quelque chose que l’autre désire recevoir, qu’il ressent le besoin de recevoir. Il ne s’agit pas de cette belle robe qui lui procurerait une allure sexy, qu’elle va mettre une fois pour vous faire plaisir et vous mentir, et qu’elle rangera ensuite dans l’armoire. Le risque est encore plus grand parce que ce « cadeau » peut devenir un sujet de discorde plus tard, car vous serez fâché de ne plus voir votre compagne la porter par exemple.

– Quelque chose qui a du sens, qui lui parle. Ça peut être un objet qui rappelle un souvenir ou des moments forts passés ensemble. La complicité au sein du couple n’en sera que renforcée.

– Quelque chose de gratuite, pas ce beau bouquet de roses offert pour se faire pardonner d’avoir oublié l’anniversaire de votre mariage.

Comment éviter le mauvais choix ?

Comme les fleurs, les cadeaux ont leur propre langage. Il y a des gens plus sensibles aux présents plus que d’autres, mais cela ne signifie pas forcément qu’ils ne savent pas apprécier ce que vous leur offrez.

Une manière de ne pas se tromper est d’être attentif au quotidien sur ce que votre partenaire aime, ce qui l’intéresse, ce qui éveille son désir et ce qu’il rêve d’avoir. Vous pouvez à partir de cette observation, créer une liste d’idées qui se prolongera au fur et à mesure du temps passé ensemble. L’avantage de cette implication personnelle est de permettre à l’autre à travers votre cadeau de savoir que vous pensez à lui, que vous êtes attentif et à l’écoute de ses besoins et que vous l’aimez. Ce n’est pas le prix, la taille, la beauté ou les qualités extérieures de votre présent qui doit ressortir, c’est votre message d’amour et d’affection.

L’écoute est une arme infaillible. Lorsque votre partenaire se plaint de ses problèmes, qu’ils soient minimes ou plus importants, c’est le moment de réfléchir sur comment l’aider et l’encourager. Le bon cadeau s’imposera par la suite de manière spontanée.

Il vous est également possible de convenir avec votre femme ou votre mari d’établir ensemble une liste que vous pouvez partager en ligne ou dans un quelconque dossier commun. Chacun pourra ensuite venir y écrire ce qu’il rêve de recevoir. Une telle pratique demande l’instauration et la culture d’une communication ouverte et franche au sein du couple, qui apprend dans la foulée à mieux se connaître et s’apprécier, malgré le nombre des années.

Soyez un bon détective. N’hésitez pas à parler et à discuter avec votre partenaire pour mieux connaître son histoire, son passé et mieux comprendre ce qui pourrait lui faire plaisir. Pour cela, privilégier les questions ouvertes qui vous permettent d’obtenir de précieuses informations. c’est une façon de montrer que vous vous intéressez à votre conjointe ou conjoint tout en apprenant des choses nouvelles à son sujet.

Profitez de toutes les occasions pour raviver la flamme de votre couple. Pousser les meubles et inviter votre tendre moitié à danser, passez du temps avec vos beaux-parents, même pendant un court moment si c’est ce qui lui manque, ou pourquoi pas lui faire la lecture si c’est quelque chose qu’il apprécie. Apporter du bonheur est parfois tellement facile que l’on a tendance à passer à côté des choses essentielles. N’hésitez pas à préparer dès maintenant le prochain cadeau que vous allez offrir, car le manque de temps peut facilement favoriser un mauvais choix.

Par Seheno, 27 décembre 2014

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Les ressources humaines selon le Pape François, les 15 maux

RESSOURCES HUMAINES – LEADERSHIP – CHRISTIANISME

La Bible, le livre qui a le plus de valeur aux yeux des BritanniquesROMEEn s’adressant à la Curie à Rome le 22 décembre à 3 jours de Noël, le Pape François a surpris le monde entier. On aurait pu s’attendre à un message politiquement correct ou de langue de bois, mais à nouveau le Pape a adopté un ton et une approche bien différente en utilisant une rhétorique presque médicale.

Suivant en bonne partie l’exemple de Jésus, qu’on peut lire dans les Evangiles, le Pape par ce discours replace le christianisme au centre de notre société comme modèle et exemple à suivre. Cela doit nous rappeler en cette période de Noël que le Christianisme, par le message de Jésus, est une religion d’amour. Ce que les hommes ont en fait et ont font encore au nom du christianisme n’est pas digne du message biblique, comme le rappelle le Pape.

Ces maux et critiques peuvent s’appliquer à votre entreprise, organisation (notamment politique) ou église. Et si vous aussi vous essayiez d’enlever les “cellules malades” de votre entreprise ou organisation ? De les guérir ?

Les maux et maladies de la curie sont:

  1. Se sentir supérieur, ne pas faire d’autocritiques, se sentir immortel ainsi qu’indispensable.
  2. Trop travailler sans se reposer (probablement il veut parler du risque de burn-out également)
  3. Perdre en sensibilité, comme par exemple ne pas pleurer avec ceux qui pleurent (on pourrait aussi parler d’empathie), s’endurcir au niveau spirituel
  4. Limiter la liberté du Saint-Esprit à cause d’un excès de planification
  5. Travailler sans organisation ou coordination, dans la confusion
  6. “Alzheimer spirituel”, ceux qui oublient leur rencontre avec Dieu (remarque de Romanvie.ch: Comme nous sommes un média d’influence évangélique, ce point est intéressant, car une différence fondamentale entre catholiques et évangéliques a justement à voir avec l’acceptation de Jésus pendant sa vie, le baptême pendant l’enfance ou à l’âge adulte. Autrement dit les Catholiques sont baptisés à la naissance, alors que les Evangéliques sont baptisés pendant la vie comme signe de conversion, comme choix personnel, on parle aussi de “born again”, sur certains points le Pape se rapproche de la théologie évangélique, car il veut replacer le contact direct avec Dieu en limitant la hiérarchie et l’administration lourde de Rome)
  7. Faire de l’apparence et des titres (ex. Dr, Prof…) son principal objectif de vie, risque de vantardise
  8. “Schizophrénie existentielle” ou double vie, ce qui se passe lorsque la curie passe d’un service pastoral à des tâches administratives
  9. Pratiquer le commérage (c’est-à-dire parler dans le dos de quelqu’un, les ragots), pour le Pape ce point est très grave
  10. Flatter les supérieurs (dans la hiérarchie) et honorer des personnes qui ne sont pas Dieu. On peut parler aussi de carriérisme et d’opportunisme
  11. A cause de la jalousie, être content de la chute de quelqu’un, au lieu de l’aider. Une certaine indifférence (le Pape parle peut-être des milliers de migrants morts entre l’Afrique et l’Europe ou entre le Mexique et les Etats-Unis)
  12. Avoir un visage triste et une tête d’enterrement, c’est souvent le symptôme d’une peur. Un apôtre du Christ doit transmettre dans la joie dans les endroits où il passe.
  13. Essayer de combler le vide existentiel avec des biens matériels (société de consommation)
  14. Essayer de créer des “cercle fermés” qui cherchent à être plus forts que l’ensemble (peut-être il veut parler de l’Opus Dei ou d’autres groupes d’influences dans l’Eglise catholique)
  15. Se montrer plus capable que les autres, à travers la calomnie et la diffamation, une recherche du prestige

Par Xavier Gruffat. Le 23 décembre 2014. Joyeux Noël à tous !

La police séquestre une culture indoor de chanvre dans deux appartements à Vallorbe

Indoor_Vallorbe_2 - BVAUDLes gendarmes de Vallorbe sont intervenus le 12 décembre 2014 dans deux appartements de la localité. Ils ont découvert une nonantaine de plants de chanvre. Plusieurs personnes ont été entendues. Sous la direction du procureur, l’enquête se poursuit. Le matériel et les plants ont été saisis et détruits.

Vendredi 12 décembre 2014, suite à différentes investigations menées par la Gendarmerie de Vallorbe, les gendarmes sont intervenus dans deux appartements situés à la même adresse dans la localité. En possession d’un mandat d’investigation remis par le procureur de l’arrondissement du Nord vaudois, les policiers ont découvert à l’intérieur une vingtaine de plants de chanvre dans le premier logement et une septantaine de plants dans le second. Le locataire de ce dernier, un Suisse de 24 ans, a reconnu d’emblée cultiver du chanvre dans les deux logements, dont celui de son amie. Pour cela, il a créé un système électrique et de ventilation pour obtenir un rendement optimal. Cet homme a expliqué cultiver pour sa propre consommation et a nié faire du trafic de produits stupéfiants. Sur ordre du procureur, les plants et le matériel ont été saisis.

Sous la responsabilité du procureur, les investigations afin de déterminer l’entier de l’activité délictueuse du prévenu se poursuivent. Elles sont menées par les gendarmes du poste de Vallorbe.

Communiqué de la Police vaudoise, le 17 décembre 2014